3 Décembre 2015
Le pain d’épices est, depuis 1933, un savoir-faire familial que Mireille choie, respecte et enrichit. De ses voyages de part le monde, cette Ambassadrice d’Alsace ramène des saveurs, des arômes et des ingrédients inédits qu’elle mélange à ses recettes. Gingembre, citron, dattes, baies de goji, elle révolutionne le pain d’épices sans rien concéder à la tradition et fait naître des pains d’Amour, de Soleil, des Anges et des Délices.
Ces gourmandises vous transportent en Chine, en Italie, en Egypte ou dans la douceur enveloppante d’un sous-bois, ils sont l’essence même d’un art de vivre tourné tout entier vers la magie des senteurs et la générosité des saveurs.
Pour arriver à ce résultat, il suffit de quatre ingrédients dont le mariage invite à une foison de saveurs, une tempête de senteurs, une nuée de douceur. A bien y réfléchir, en réalité, il en manque un, sans doute même l’essentiel. De la farine, du miel, des épices, du beurre donc... et de l’amour. Voilà le liant, voilà l’ingrédient secret, celui ce qui donne corps au mélange des quatre autres, celui par lequel un petit carré de pain d’épices se transforme en promesse d’évasion nichée dans un écrin de paradis.
De l’Empire du Milieu à la table de moines cisterciens, il aura fallu près de 5 siècles au pain d’épices pour arriver en Alsace. Un siècle plus tard, en 1570, la corporation des Lebkuecher propose ses douceurs épicées au bon goût de miel sur le premier Christkindelsmärick de Strasbourg. Biscuit d’hiver par excellence, le pain d’épices a ceci de particulier qu’il parvient à exprimer toute la féérie de Noël à travers quelques bâtons de cannelle et une ou deux onces de beurre fondu. Et celui de Mireille inonde de ses saveurs chaque Marché de Noël à Strasbourg.